Le directeur de McKinsey candidat à la Présidence de la France


Rebondissement inattendu dans la course à la présidentielle ! Victor Fabius, le directeur associé de McKinsey & Company, basé à Paris, dépose sa candidature pour faire du cabinet McKinsey la nouvelle autorité présidentielle de la France. Une première dans l’histoire de la république qui placerait enfin une multinationale aux manettes après des années d’influences officieuses. Après un banquier président, aura-t-on bientôt un cabinet d’affaire à la tête du pays ?

Voilà plusieurs décennies que les français commencent peu à peu à réaliser que l’État joue désormais un simple rôle d’ajustement du libre marché capitaliste, le tout en faveur des grandes entreprises qui influencent les institutions. En effet, aucune loi de ces 50 dernières années n’a généré de réelle entrave pour le business de ces multinationales.

Bien au contraire, le lobbying s’est développé comme jamais, que ce soit au niveau Européen ou national, concentrant plus que jamais les richesses dans les mains de quelques-uns. Suite logique : pourquoi s’embêter avec une démocratie quand les institutions ne représentent plus les intérêts du peuple ?

En effet, toutes les institutions sont désormais gangrenées par les influences économiques diverses toujours dans l’objectif de fluidifier le business des groupes les plus puissants. Et dans le même temps, l’occident joue à la chasse aux oligarques, mais Russes uniquement ! Il ne faudrait pas trop éveiller des soupçons.

Cette logique du conspirationnisme a touché son point culminant pendant l’ère du Macronisme quand un ex-banquier d’affaire, spécialisé dans la fusion-acquisition de multinationales, fut élu président – on ne se demande plus comment – suite à sa surmédiatisation sur toutes les chaînes de télévision du pays et l’usage du désormais bien connu spectre fasciste de l’extrême droite. Pendant ce temps, l’extrême gauche – inexistante sur le plan politique – est jugée responsable de tous les maux de l’univers, depuis la disparition des nains de Blanche Neige jusqu’à la crise du capitalisme lui-même (ça ne s’explique pas). L’opposition politique se contente d’être la cible de toutes les attaques médiatiques réactionnaires niveau “Pascal Praud” sur l’échelle de la polémique stérile : “C’était mieux avant, vive le business, ces wokistes nous emmerdent et il fait froid dehors donc la crise climatique n’existe pas”… 

“- 3° ce matin dans les…

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Auteur: Mr Mondialisation