La 34e Coupe d’Afrique des nations (CAN) s’est achevée en Côte d’Ivoire sous les yeux de millions de téléspectateurs à travers le monde, après une performance remarquable de la Côte d’Ivoire, tant sur le terrain en tant que championne qu’en dehors en tant que pays organisateur.
Le pays d’Afrique de l’Ouest a battu le Nigeria 2-1 en finale, mais la satisfaction dépasse le résultat du match. La phase de groupe du plus grand tournoi d’Afrique a produit une moyenne de 2,47 buts par match – la plus élevée de la compétition depuis plus d’une décennie.
En tant que spécialiste de la communication sportive et spécialiste du football africain ayant suivi les matches, j’ai noté trois tendances particulièrement réjouissantes lors de l’événement de cette année. Le football africain a révélé l’étendue de ses talents au niveau national ; l’arbitrage a été globalement équitable ; et une approche rigoureuse des droits de diffusion a porté ses fruits. La 34e édition de la CAN a attiré un nombre record de téléspectateurs et, par conséquent, très probablement des revenus records.
Immensité du talent
Sur le terrain, la décision prise en 2019 par la Confédération africaine de football (Caf) d’élargir le tournoide 16 à 24 équipes est payante. Les détracteurs de cette décision pensaient qu’elle entraînerait une baisse du niveau de jeu présumé ntre les meilleures nations et le reste du continent.
Mais si l’on en croit les médias, les résultats sur le terrain ont prouvé le contraire. Les surprises ont suscité des émotions et sans doute attiré de nouveaux fans, en particulier dans les nations outsiders.
Les huit équipes qui ont atteint les quarts de finale étaient différentes des huit équipes qui avaient atteint les quarts de finale lors de la précédente édition de la CAN. Bien que les deux équipes qui ont disputé la finale aient chacune remporté trois éditions de la compétition, aucune n’était…
La suite est à lire sur: theconversation.com
Auteur: Chuka Onwumechili, Professor of Communications, Howard University