La gloire de l’Europe et la genèse des États-Unis d’Amérique sont le fruit du génocide. Bon sang, c’est même dans la Déclaration d’indépendance. Comme l’a écrit le vieux violeur Thomas Jefferson, à propos du roi d’Angleterre, pas assez génocidaire :
« Il a provoqué des insurrections domestiques parmi nous et s’est efforcé d’attirer sur les habitants de nos frontières les impitoyables sauvages indiens, dont la règle de guerre connue consiste à massacrer toute la population, sans distinction d’âge, de sexe et de condition ».
C’est la même chose que l’on entend aujourd’hui dans tout l’empire blanc, à propos d’une nouvelle série de « sauvages impitoyables ». Depuis la fondation des EU, le programme consiste à accuser les indigènes de ce que eux font, puis à leur faire subir un génocide. Traitez les habitants de la terre que vous convoitez de sauvages, et ensuite, sauvagez-les sans pitié. Comme le dit ma thèse historique, même merde, jour différent.
Les EU ont hérité des colonies britanniques après la Seconde Guerre mondiale et ont continué à génocider les indigènes, mais avec des machines plus modernes et avec plus de mensonges. De mémoire d’homme, ils ont entrepris de nombreuses campagnes d’assassinats à travers le Moyen-Orient et font aujourd’hui de Gaza un cimetière, accélérant brutalement le génocide au ralenti de la Palestine. Les célèbres pogroms d’antan sont simplement devenus des programmes télévisés de dernière génération. Une quantité écœurante de personnes hautement propagandisées considèrent que c’est encore une bonne chose.
American Progress (1872) par John Gast
Je pense souvent à cette peinture, “ American Progress ” de John Gast. Les gens d’aujourd’hui regardent cette personnification de la vertu blanche qui génocide littéralement les indigènes et disent « nous ne pensons plus comme ça », mais vous le faites toujours, putain ! Cette…
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Auteur: Indrajit SAMARAJIVA