Le médiamensonge du jour – Boutcha : 10 questions sans réponses — Michel Collon

1. Fiables, les photos-satellites du New York Times ?

2. La firme Maxar des photos-satellites liée au gouvernement des EU ?

3. Des cadavres qui sont là, qui disparaissent, et puis qui reviennent ?

4. Que s’est-il passé les 1 et 2 avril ?

5. Cette fosse commune serait-elle une preuve ?

6. Pourquoi même le Pentagone n’y croit pas ?

7. La CIA a-t-elle reconnu qu’elle désinforme ?

8. Pourquoi n’entendons-nous jamais la version russe ?

9. Pourquoi la Grande-Bretagne refuse une enquête internationale ?

10. Zelinsky piégé par les nazis d’Azov pour l’empêcher de négocier ?

Source : https://www.investigaction.net/fr/le-mediamensonge-du-jour-boutcha-10-…

YouTube supprime une vidéo d’Investig’Action

Sur le massacre de Boutcha, de nombreuses questions restent sans réponse. Et manifestement, c’est déjà trop de les poser. YouTube a en effet supprimé la deuxième vidéo que Michel Collon avait consacrée à ce sordide épisode de la guerre en Ukraine.

Les photos-satellites du New York Times sont-elles fiables ? Pourquoi le Pentagone doute des informations sur l’Ukraine ? Pourquoi la Grande-Bretagne refuse une enquête internationale ? Poursuivant son travail d’analyse de la propagande de guerre, Michel Collon relève plusieurs zones d’ombre dans tout ce qui nous a été rapporté sur le massacre de Boutcha. Sans prétendre détenir la vérité, il invite à la prudence. Dans les guerres en effet, des événements dramatiques sont souvent instrumentalisés pour intensifier le conflit. De fait, les gouvernements occidentaux se sont empressés de voter de nouvelles sanctions contre la Russie et de passer à la vitesse supérieure dans la livraison d’armes à l’Ukraine, annonçant ensuite qu’ils collecteraient les preuves pour faire la lumière sur ce qui s’est passé à Boutcha. La charrue avant les bœufs.

Poursuivant son travail inlassable pour la paix, Investig’Action maintient sa ligne : la guerre n’est pas la solution, mais fait partie du problème. Nous condamnons ainsi l’invasion russe, mais nous situons aussi les événements dans le contexte plus large de la nouvelle guerre froide livrée par les États-Unis pour maintenir leur hégémonie. Les grands perdants sont les Ukrainiens utilisés comme chair à canon par l’Otan, le peuple russe empêtré dans un conflit qui aurait pu être évité, les peuples européens impactés par la guerre économique, les peuples du Sud sousla menace d’une famine accrue ou encore le peuple des États-Unis toujours plus précarisé par l’industrie de l’armement…

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Michel Collon Le grand soir