Le sionisme est la plus grande menace pour la liberté d'expression dans le monde occidental aujourd'hui par Caitlin JOHNSTONE

L’indignation sioniste suscitée par l’incident a conduit à la diffusion d’une vidéo sur Twitter par un certain Danny Morris, qui travaille pour le Community Security Trust, une organisation britannique qui soutient Israël au nom de la lutte contre l’antisémitisme. La vidéo montre apparemment Kneecap scandant « Up Hamas, up Hezbollah » lors d’un concert à Londres en novembre dernier, ce qui est la raison officielle pour laquelle le groupe fait aujourd’hui l’objet d’une enquête.

En désignant le Hamas et le Hezbollah comme des organisations terroristes et en adoptant ensuite des lois contre le soutien aux groupes terroristes interdits, le gouvernement britannique s’est effectivement donné le pouvoir d’étouffer tout discours pouvant être considéré comme soutenant les groupes armés qui s’opposent aux abus d’Israël au Moyen-Orient aujourd’hui, et il a utilisé ce pouvoir pour persécuter les journalistes et les activistes au Royaume-Uni.

Il ne s’agit là que de l’un des derniers incidents dans l’assaut constant contre les droits à la liberté d’expression auquel nous assistons dans les pays occidentaux qui se sont alignés sur l’État d’Israël pendant l’holocauste de Gaza,

Dans le Michigan, les domiciles de manifestants pro-palestiniens auraient été perquisitionnés par le FBI et par la police de l’État et la police locale, avec de nombreux militants détenus et des appareils électroniques saisis en vertu de mandats de perquisition.

Une nouvelle politique dévoilée par les Instituts nationaux de la santé de l’administration Trump interdit aux chercheurs et aux employés des universités de participer à tout activisme impliquant le boycott ou le désinvestissement de l’État d’Israël, ou même de préconiser de telles mesures.

Les agents de la police de New York suivraient une formation sur la lutte contre…

La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: Caitlin JOHNSTONE