Les Ecrits d'Août : traces sonores et visuelles, quoique lacunaires…

Il nous a semblé utile de revenir en audio et en photos, sur des journées que tant de gens ont saluées de qualificatifs flatteurs. Malheureusement, nos équipes techniques étant réduites et accaparées ailleurs, et le matériel dont nous disposons se trouvant très succinct, on est loin d’avoir tout enregistré…

Comme dit Delphine, l’émérite bénévole à l’origine des enregistrements sonores que nous mettons à votre disposition : « Je pense utile de préciser qu’ils ont été effectués grâce à un portable, limité en stockage et soumis à la présence de sa détentrice au moment T (d’où des extraits non exhaustifs et une qualité sonore variable). » A défaut de son, on vous mettra aussi quelques images pour évoquer encore certains instants intenses de ces journées.

Sur Hocquenghem

Avec Quentin Dubois & Vivian Petit : un texte tiré de ces interventions a déjà été publié la semaine dernière. On portera une particulière attention aux interventions du public qui reviennent sur les procès faits aujourd’hui à Hocquenghem

Présentation du FHAR par Quentin Dubois :

Intervention de Vivian Petit sur les romans d’Hocquenghem :

Lecture d’un extrait par Quentin Dubois :

Discussion avec le public, première partie :

Discussion avec le public, seconde partie :

Rencontre avec Emilie Notéris

Auteure de Sequoiadrome, (2011) Macronique – les choses qui n’existent pas existent quand même, (2020) traductrice de Reclaim, anthologie de textes féministes, Emilie Notéris est née en 1978, l’année à Faurisson se plaça sous les feux de l’actualité, avec l’aide du Monde et de la revue La Guerre Sociale, en mettant en cause l’existence des chambres à gaz et l’authenticité du Journal d’Anne Frank. Elle en tire quelques conséquences, pour elle et pour nous…

Emma Goldman par Laure Batier et Sylvia Pankhurst par Marie-Hélène Dumas

Présentation :

Discussion avec le public :

Sur la guerre d’Algérie

Très riche échange entre René Knégévitch, ancien de la guerre d’Algérie (et opposant à celle-ci), Dominique Manotti qui fut de tous les combats anticolonialistes et Olivier Le Cour Granmaison, juriste bien placé (à la Cour nationale du droit d’Asile) pour constater les racines coloniales du racisme d’État.

Première partie :

Deuxième partie :

Discussion avec le public :

A écouter aussi, d’utiles rappels féministes par des femmes de différentes générations.

Sur les réunions non mixtes par Dominique Manotti :

Sur les origines du MLF avec Juliette…

La suite est à lire sur: lundi.am
Auteur: lundimatin