La désinformation, dans les pays qui se croient bien développés, on y procède avec autant de facilité que dans le « tiers monde ». La vraie science est de savoir à temps remettre en question des procédures ou des dogmes, lorsqu’il y a un doute. Et d’étudier toutes les hypothèses possibles, avant de rejeter quoi que ce soit.
Qu’a-t-on fait durant l’épidémie de Covid-19 ? Au lieu d’écouter les arguments de spécialistes ayant une aussi bonne formation scientifique que ceux à qui on donnait exclusivement la parole, on les a diffamés. Aucun n’était contre le principe de la vaccination, mais émettait des doutes sur l’innocuité de vaccins élaborés à la hâte. Oui, il y a une distinction à faire entre les gens s’opposant à tous les vaccins et ceux qui doutent de vaccins dont les promoteurs sont en collusion avec l’entreprise Pfizer : Agnès Buzyn, l’ancienne Ministre de la Santé en France ; Ursula von der Leyen, Présidente de l’Union Européenne et amie du directeur de Pfizer ; Mathieu Nadeau-Vallée, obstétricien dont toutes les études supérieures ont été financées par Pfizer, pour ne nommer que ces trois-là. Pour savoir si une information est vraie, il faut avant tout déceler qui promeut cette information. Et qui finance l’Organisation Mondiale de la Santé ? La Fondation Gates. ¹
L’ancien conseiller en épidémiologie de l’OMS, Christian Perronne, ainsi que Didier Raoult, ont les mêmes spécialisations que directeur de l’OMS, M. Tedros. Ce sont trois spécialistes. Si on me rétorque que Didier Raoult a déjà falsifié des résultats, que penser de Pfizer ! Cette entreprise a été condamnée en 2009 à une amende de 2,3 milliards de dollars, pour « pratiques commerciales frauduleuses » et bakchichs à des médecins, selon le ministère de la Justice des États-Unis. Cela concernait notamment l’anti-inflammatoire Bextra, retiré du marché en 2005, pour cause d’effets…
Auteur: Maryse Laurence LEWIS