Ça commence comme un roman d’espionnage : un fonctionnaire du Département d’Etat, affecté à l’ambassade de Paris approche Hernando Calvo Ospina (grand ami de Cuba et du Grand Soir) au bar d’un élégant hôtel parisien. Cinq jours plus tôt, il l’avait abordé lors d’un cocktail à la Maison de l’Amérique (…)
Editorial
La suite est à lire sur: www.legrandsoir.info
Auteur: