Lettre ouverte aux enseignants, pour la rentrée 2021/2022

Les souffrances de l’année qui s’est écoulée font remonter à la surface toutes les autres…
Ainsi tu as obliger les enfants a porter un masque, d’abord en classe, puis même dehors !
Ignorais tu que la plupart des petits se retrouvaient aux parcs avec parents et amis, ces même amis dont tu voulaient les séparer par des (gestes) barrieres ? Ou bien tu avais mis des oeilleres en plus du masque ?
Parfois tu avais vraiment peur de ce virus qu’ils transportaient avec tant d’insouscience, (insouscience que tu a souvent réussi a tuer dans l’oeuf et a remplacer par de l’incompréhension, de la peur, de la culpabilité, jusque dans la psychose)
Mais au fond tu savais, tu ne pouvais pas ne pas savoir, que ce carnage dans leurs vies, dans nos vies, ne valait pas cette pseudo sécurité sanitaire, a touours innaccessible puisque engendrée par le systemedans lequel tu vis.

Les trahisons, compromisions se sont enchainées, de l’absurdité folle du debut, qui te poussa parfois a déssiner des carrées éloignés les uns des autres comme autant de cages ou « faire passer » les récréations, a la conscience froide du plus tard, a laver des mains, taires des bouches, écraser… comme peut être tu te serais senti écrasé si tu avais voulu ressentir, toi aussi.
Mais non !

Tu avais commencé par arreter de refléchir pour te jeter dans le tourbillons des mesures absurdes, contradictoires, fluctuantes et puantes… tu ne puvais plus reculer, tu ne pouvais plus ressentir car alors inévitablement tu te serais senti sale de tant d’absurdité.
Alors tu t’es enfonçé. Tu t’es efforcé d’y entrainer les quelques collégues récalcitrants ou juste même sceptiques. Surtout ne pas se retourner et ne pas se sentir seul. Faire corps comme au service militaire que tu n’as pourtant pas fait. Tu avais fait de la merde et pour ne pas le voir tu allais t’y vautrer et y entrainer tous les autres comme ça tu n’y serais bientôt pour rien.

Pour ne pas voir que tu baignais dans un océan nauséabond, tu as dit : « cet océan est sain. »
Tu as dit : « cet océan est difficile mais c’est la seule voie, et si nous sommes bien sages et faisons tout bien comme il faut :Tous cela prendra fin bientôt et tout redeviendra comme avant. »

Comme avant ?
Désolée si je t’ouvre les yeux un peu brutalement mais comme avant quand ?
As tu oublié que avant tu avais accepter que les parents des tout petit ne puisse plus les accompagner dans leur classe pour mettre les chaussons et un dernier bisou ?
As tu oublié qu’avant tu…

La suite est à lire sur: iaata.info
Auteur: IAATA