Lettre ouverte aux Ministres de la santé en faveur de la vaccination — Marie Laurence LEWIS

Un péril sous haute sécurité… défaillante

Depuis deux ans, de nombreux États gouvernent par décrets. Au lieu de maintenir les citoyens dans l’angoisse d’une infection virale, apte à diminuer leur résistance immunitaire, il serait plus urgent de fermer les laboratoires de niveaux P3 et P4. Ils sont plus dangereux qu’utiles, puisque l’on connaît la famille des Coronavirus depuis 90 ans et aucun vaccin n’est vraiment efficace. (1)

En déterrant une femme, décédée en 1918 mais préservée dans le pergélisol de l’Alaska, des chercheurs ont réactivé le virus de la grippe espagnole. On prétend que cette expérience permet de comparer les virus H1N1 et H5N1, sans pour autant se muter remède adéquat. (2)

Il est presque certain que la covid provient d’un Centre de recherche à sécurité maximale. Un rapport du gouvernement canadien, datant de 2018, recense 89 incidents d’exposition à des agents pathogènes humains et une contamination avérée. Et on veut nous faire croire que le danger provient des non-vaccinés ! Qu’une erreur soit à l’origine de la « fuite » d’un virus, à la ville de Wuhan, ou qu’une personne ait été mandatée pour propager un agent viral et en accuser l’État chinois, il sera difficile de le savoir. Quoi qu’il en soit, ne pointons pas uniquement l’Institut de virologie chinois. Une cinquantaine de centres de niveaux P3 et P4 sont en fonction dans le monde, majoritairement subventionnés par les États-Unis, puisqu’ils en possèdent de nombreux sur et hors de leur territoire. (3)

Si l’on y procède à des manipulations bénéfiques pour la santé, pourquoi certains d’entre eux sont-ils sous la direction de militaires ? C’est le cas aux États-Unis. Tout comme en France, où deux laboratoires sur trois sont régis par l’armée. (4)

Je m’étonne de la lenteur des citoyens à lier les versions contradictoires, les décisions changeantes, le fait que des milliers de membres du personnel médical préfèrent un congédiement plutôt qu’un vaccin anti-covid. Car les gens qui travaillent dans les hôpitaux, eux, savent réellement combien de décès sont dus au Corona virus ou à une co-morbidité chez des malades chroniques.

Le personnel de la santé est mieux placé que quiconque pour juger de l’urgence d’une situation et ne pas vouloir servir de cobayes, pour une thérapie à l’ARNm dont on ne connaît pas les effets à long terme. Injecter un virus mort ou affaibli, dont nos globules blancs apprendront à reconnaître l’enveloppe typique, est bien distinct des…

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Auteur: Marie Laurence LEWIS Le grand soir