L'extermination des Hilotes d'Israël (Consortium News)

Israël est moins un État qu’une expérience de suprématie ethnique. La mort, et non la vie, est son leitmotiv. Par une ironie sinistre, alors que nous commémorons le 80e anniversaire du Jour de la Victoire en Europe, Hitler triomphe dans les actions des dirigeants israéliens.

Benjamin Netanyahou et sa clique d’extrémistes sionistes meurtriers sont totalement et criminellement imperméables aux souffrances extrêmes du peuple palestinien – y compris des femmes et des enfants – au nom de la civilisation occidentale. C’est ainsi qu’il faut comprendre l’injustice flagrante de ces 19 derniers mois.

Non content d’avoir réduit la bande de Gaza à l’état de ruines et sa population à un état de détresse abjecte, l’État colonisateur d’Israël – qui est entré dans sa période de folie – a maintenant déclaré son intention de « capturer » Gaza et de la nettoyer de sa population. Tout cela, bien sûr, au nom supposé de la destruction du Hamas.

Un extrémiste dans un costume taillé sur mesure reste un extrémiste – et en Israël, l’extrémisme a été autorisé à prospérer au nom de la vengeance d’un judéocide européen dans lequel le peuple de Palestine n’a joué aucun rôle.

En clair, Israël n’a pas sa place dans le domaine des affaires humaines, tandis que le sionisme n’a pas sa place dans le domaine des affaires juives. Le premier est l’enfant bâtard de la conception perverse qu’avait Hitler de la race humaine, tandis que le second est la preuve que nous restons, en tant qu’espèce, à jamais emprisonnés entre les murs de la turpitude idéologique.

Si l’on va plus loin, on constate qu’à certains moments de l’histoire, les actions et les modes d’existence de certains États ont réfuté l’idée que l’histoire de l’humanité avait suivi un modèle de progrès ininterrompu. En remontant jusqu’à l’Antiquité, on constate que le meurtre en tant que vertu et la justice en tant que vice ont…

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