L'OMS et ses standards dépravés pour l'éducation sexuelle en Europe. — Claude JANVIER

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien. Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation, d’autant plus que l’OMS s’immisce discrètement, mais sûrement, dans l’éducation sexuelle des tout petits. (De 0 à 4 ans). 

Voici un extrait d’un de ses rapports, publié en 2013, intitulé : « OMS : Bureau régional pour l’Europe. Standards pour l’éducation sexuelle en Europe. Un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes. Santé sexuelle ». 

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1.3 Pourquoi commencer l’éducation sexuelle avant l’âge de quatre ans ? 

« Nous l’avons dit à plusieurs reprises : l’éducation sexuelle doit être comprise dans un sens large et holistique, et la sexualité considérée en tant que potentiel positif de l’être humain. L’enfant est un être sexué dès sa naissance, même si sa sexualité est différente de celle des adultes à de nombreux égards, notamment dans son expression, ses contenus et sesobjectifs.

À chaque âge, chaque étape de développement, il aura des questions et des comportements spécifiques (par exemple, découverte et exploration de son corps et de celui de ses camarades en jouant au docteur, se plaire à montrer son corps et à regarder celui des autres, faire preuve de pudeur envers autrui, etc.) auxquels il s’agira de réagir par une pédagogie adaptée.

Le développement psychosexuel pendant l’enfance va de pair avec ledéveloppement de compétences physiques, émotionnelles, cognitives etsociales. Nous renvoyons au chap. 3.2 pour une description détailléedu développement…

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Auteur: Claude JANVIER