Ce sont toujours les gouvernements qui fixent le niveau du conflit, donc les moyens de contestation à employer.
Avec son intransigeance bornée, ses lois et actions néfastes et sa répression généralisée et intense, le régime macroniste impose une conflictualité, un rapport de force, très élevée. C’est la marque typique d’un régime très autoritaire et très anti-démocratique, d’un régime policier et tyranique au service des riches et du Capital, d’une oligarchie techno-étatique au service du productivisme forcené.
Nelson Mandela le disait :
“Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’a pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense.”
Nelson Mandela, Un long chemin vers la liberté (1994).
« Que vous utilisiez des méthodes pacifiques ou violentes, le choix est entièrement déterminé par les conditions… Le Christ a utilisé la force parce que dans cette situation, c’est le seul langage qu’il pouvait utiliser. Par conséquent, aucun principe ne dit que la force soit inutilisable (…) Quand le seul moyen d’avancer, de résoudre les problèmes, est d’utiliser la force ; quand les méthodes pacifiques deviennent inadaptées. C’est une leçon de l’histoire à travers les siècles… et dans toutes les parties du monde. »
C’est que les moyens employés par les opprimés pour faire progresser leur cause sont déterminés par l’oppresseur lui-même
« Au départ, ils [ses interlocuteurs afrikaners] avaient adopté la posture habituelle consistant à dire que la violence et les actes criminels sont intolérables. Mais ce que je cherchais à mettre en avant, c’est que les moyens employés par les opprimés pour faire progresser leur cause sont déterminés par l’oppresseur lui-même. Quand l’oppresseur emploie des méthodes pacifiques, les opprimés l’imitent ; mais quand il a recours à la force, les opprimés eux…
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