Ce 16 avril, environ 500 personnes ont répondu à l’appel national à manifester contre Marine Le Pen et Macron à Montpellier. Cet appel a convergé avec le rassemblement des étudiants, les antifas et les antivax. Depuis quelques mois, les tensions entre l’extrême droite et les associations/militants de gauche, ne cessent pas de monter. Ce dernier jeudi, entre dix et quinze militants d’extrême droite ont attaqué, pour la deuxième fois le local de l’association Le Barricade.
Si la plupart des slogans présentes dans la manifestation, réduisent le second tour à la présidentielle à deux faces « fascistes » d’une même médaille, donc un.e doit s’abstenir, la plupart des participants s’accordent à dire que le programme de Marine Le Pen est la porte d’entrée vers un régime fasciste et policier.
Au grand étonnement des participants, ce samedi, la préfecture de police a décidé d’une stratégie de « maintien de l’ordre » à « distance ». Aucun dispositif de police à signaler dans la zone de la préfecture, ni sur le parcours de la manifestation. Cela prouve que la hiérarchie de police sait jouer avec les apparences et la répression, quand la nécessité électorale l’exige.
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Auteur: Ricardo Parreira