Virus de Mpox aussi appelé variole du singe

Mpox ou variole du singe, ce qu’il faut savoir

Le 14 août, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) déclarait que l’épidémie de variole simienne, dite Mpox, était une « urgence sanitaire internationale », après une flambée des cas en Afrique. Le lendemain, un cas était déclaré en Suède. Ce qu’il faut savoir sur cette épidémie.

La variole du singe est une maladie infectieuse causée par un virus transmis à l’homme par des animaux infectés, mais qui peut aussi se transmettre d’homme à homme par contact physique étroit.  La variole se caractérise par une éruption ou des lésions cutanées généralement concentrées sur le visage, la paume des mains et la plante des pieds.

Dans la plupart des cas, la maladie guérit spontanément en deux ou trois semaines.

Nouvelle souche de Mpox

L’Afrique fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en République démocratique du Congo (RDC) en septembre 2023 et baptisée « Clade Ib », plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.

Selon l’OMS, plus de 15 600 cas et 537 décès ont été signalés depuis le début de l’année en RDC, dépassant déjà le total de l’année dernière. Le taux de mortalité reste en dessous de 4%.

Le RDC mais aussi d’autres pays d’Afrique connaissent des flambées de Mpox depuis plus de 10 ans.

Coordonner la réponse à l’épidémie de variole du singe

En juillet 2022, l’OMS avait déjà lancé une alerte mondiale après une flambée des cas. Ces alertes servent à coordonner les réponses et à endiguer les épidémies.

Le 6 août, l’OMS a exhorté les pays à « partager les outils tels que les vaccins et à appliquer les leçons tirées des précédentes urgences de santé publique de portée internationale pour faire face à l’épidémie actuelle ».

L’OMS encourage tous les pays à renforcer la surveillance, à partager les données et à travailler pour mieux comprendre la transmission du virus.

Il existe deux vaccins homologués et…

La suite est à lire sur: unric.org
Auteur: onufrance