Un virus roturier a privé Philip (dit « prince Philip ») d’obsèques dignes du couronnement de l’empereur Bokassa. Pas de foules en pleurs, de carrosses dorés, d’armada de journalistes.
Par contre, les journaleux français, y compris ceux du service public, ont mis le paquet dans la compassion sirupeuse (…)
Editorial
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Auteur: Le grand soir