Présidentielle 2042 : « en 2022, on aurait pu éviter le pire »

 

Grâce au procédé technologique du deep-fake, cette vidéo de fiction dystopique met en scène des animateurs et des personnalités politiques qui reviennent 20 ans plus tard avec amertume sur la période que nous vivons actuellement, pour mettre la lumière sur ce que nous voulons et pouvons encore éviter : une crise climatique plus grave encore que celle qui est déjà à l’œuvre.

Une crise déjà bien connue depuis la fin du 20e siècle, mais face à laquelle les responsables politiques n’ont pas su, n’ont pas voulu agir. Et si on avait réagi plus tôt ? Et si l’élection cruciale qui se déroulait en France en 2022 s’était passée différemment ? Et si les médias et l’ensemble des responsables politiques avaient été à la hauteur des enjeux, en plaçant le climat au cœur des débats de la Présidentielle 2022 ?

Bonne nouvelle : nous ne sommes pas en 2042, mais bien en 2022, et cette élection présidentielle française décisive n’a pas encore eu lieu. D’ici au premier tour, le dimanche 10 avril, tout est encore possible. Si la place des questions climatiques dans les débats présidentiels est encore extrêmement réduite, on voit tout de même plusieurs candidates et candidats s’exprimer sur le sujet et en faire un axe essentiel de leur programme. D’autres, inversement, passent complètement le sujet sous silence, voire proposent de mener une politique qui conduirait droit à la catastrophe.

Pour éviter d’en arriver là en 2042, il est encore temps d’agir : rejoignez-nous !

Qu’est-ce que je peux faire ?

Nous vous proposons plusieurs actions dès à présent :

Nous vous donnons aussi d’ores et déjà rendez-vous pour deux moments clés :

Pourquoi cette élection présidentielle est-elle déterminante ?

Au lendemain du 24 avril, jour du second tour de l’élection présidentielle, le ou la président·e de la République nouvellement élu·e aura la lourde tâche de rattraper le temps perdu sur le front climatique et de sortir notre pays de l’illégalité. Car la France, qui ne respecte pas elle-même l’Accord de Paris sur le climat, a été doublement condamnée en 2021 par la justice dans le cadre de l’affaire de Grande-Synthe et de l’Affaire du Siècle : l’État a l’obligation de respecter ses engagements climatiques et de mettre en place des politiques publiques fortes, cohérentes et suivies d’effets concrets et rapides pour le climat.

Le quinquennat d’Emmanuel Macron, marqué par des tout petits pas, de nombreux renoncements, voire des reculs, n’a…

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Auteur: Greenpeace France