Il y a des frémissements actuellement dans la police. Un léger punch syndicaliste. Pas (encore ?) pour rejoindre le monde du travail qui essaie de lutter contre le boy de Rothschild et le capitalisme financier en général. De toute façon, tant que les représentants des flics auront bar ouvert sur les plateaux des chaînes d’ “ infos ” en continu, ils seront du mauvais côté de la barrière. Quand ces chaînes interrogent des syndicalistes, il s’agit neuf fois sur dix de flics…
Certaines compagnies de CRS sont donc engagées dans un mouvement social. Ce mouvement aurait eu beaucoup plus de force si, sous les casques, on s’était dit, pendant la lutte contre la contre-réforme des retraites, que se joindre aux millions de manifestants eût été une bonne idée. Au lieu de cela, ces policiers se sont appliqués à bien briser le mouvement en tapant sur les crânes des travailleurs qui bloquaient les dépôts de carburant. En crevant des yeux à coup de LBD et en arrachant des mains à coup de grenades diverses et variées.
Que les policiers fassent attention, sinon le boy de Rothschild leur enverra les gardes mobiles !
Il n’en a pas toujours été ainsi. Pensons aux CRS de l’immédiat après-guerre. Ces compagnies furent créées après la Seconde Guerre mondiale pour succéder à des forces anti-émeute créées par Vichy par une ordonnance de De Gaulle.Dans la page Wikipédia qui leur est consacrée, on lit ceci :
“ Alors que les sympathisants communistes étaient à l’origine très présents dans ses rangs (ce qui s’explique par leur engagement dans la Résistance, et selon certains par une volonté d’entrisme), une épuration a limité leur nombre après que le Parti communiste se fut placé dans l’opposition aux gouvernements d’après-guerre : à la suite d’une manifestation à Marseille (du 12 novembre 1947) à l’appel de la CGT et du PCF non réprimée par les CRS majoritairement communistes, plusieurs compagnies sont…
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Auteur: Bernard GENSANE