Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres ? — Gilbert GUIGANT

Or, actuellement, au prétendu sommet de la société, nous avons de « faux adultes », enfants à vie qui n’ont plus aucune inhibition. Qui se prouvent surtout les pires barbares déguisés en costards cravates. Bien identifiés comme les pires « dangers publics » actuels – les flagrants Ennemis de la société. Voici comment ils se sont tous démasqués : ce qu’ils se permettent tout le temps ! Non non, ils le permettent pas aux autres. Parvenant ainsi aux sommets de toutes les déraisons tout le temps.

Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres ! Horrible à ressentir hein ? Pensées non inhibées que ces « faux » adultes mettent maléfiquement en œuvre. Devenus donc monstres complets. Tout leur serait permis, absolument tout : c’est dans l’exposition du prétexte, petit en général, mais là très outrepassé en taille minuscule. Genre : « je suis élu. Je peux faire tout ce que je veux ». Soit les levées anormales des inhibitions habituelles. Pour nous, un élu s’entend avec « bien plus de devoirs impératifs que de droits…personnels ». La fonction seule lèvent des possibilités (très encadrées par les lois) non la « personnalisation abusive » de pouvoir tout piétiner, tout casser et de vouloir (en plus) écraser les autres ! Car ? « être élu » n’offre pas toutes « les facilités » aux sadismes débridés et aux cruautés à disposition avec irruptions « désinhibées » de la police qui cogne uniquement les victimes. Oui, uniquement sur les victimes des sadiques « parce que » élus, victimes qui subissent déjà tout, et doivent endurer encore la Tartuffe violence qui n’est déclenchée que par ces sommets inacceptables. Ce sont les gouvernants qu’il faut… fermement réprimer – personne d’autre. Eux qui ne permettent pas aux autres ce qu’ils se permettent tout le temps !

Dans ces conditions, cette police devient aussi infantile et donc dangereuse que qui lui ordonnent illégalement. Police barbarement désinhibée : soit devenue la déraison même. Celle « Que » les autres vous permettraient tout et que vous ne permettriez rien aux autres ? Non ça ne passe plus du tout. Ces puérils doivent reculer, reculer, reculer, reculer jusqu’à ce que la raison leur dise stop. Plus dignes du mot police. Livrés à eux-mêmes ils ne sont pas fiables. Nul ne peut plus leur faire confiance !

Oui en tout la formule verbale peut atteindre la meilleure perfection possible de la formule mathématique : « Que les autres vous…

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Auteur: Gilbert GUIGANT Le grand soir