Quels virus sont étudiés par les laboratoires biologiques de l'armée des États-Unis au Kazakhstan ? — Vladimir PLATOV

Bien que les personnalités politiques étasuniennes tentent de convaincre le reste du monde qu’il s’agit simplement de « centres de recherche » où des spécialistes étasuniens aident les scientifiques locaux à mettre au point des moyens de combattre des maladies dangereuses, Washington occulte soigneusement toute information sur ce qui se passe réellement à l’intérieur de ces installations militaires. Les élus des pays susmentionnés n’ont aucune idée réelle de ce qui se passe à l’abri de ces portes fermées. Les centres étasuniens déployés dans ces pays et le centre de recherche de la base militaire de Fort Detrick, où les laborantins du Pentagone travaillent depuis des décennies à la militarisation de la biologie, sont une seule et même entité.

Les soupçons concernant l’implication des laboratoires biologiques étasuniens étrangers dans l’émergence de maladies très étranges dans les pays où ces installations secrètes existent sont de plus en plus forts.

Ainsi, le 30 juillet, Channel One Eurasia, une chaîne de télévision locale kazakhe, rapportait la mort massive et inattendue de bétail due à une maladie inconnue dans deux régions du Kazakhstan. En particulier, dans la région du Nord-Kazakhstan. Selon les vétérinaires, il s’agirait de la jambe noire, ou escarboucle emphysémateuse, qui n’a pas été observée dans ce pays depuis très longtemps. L’infection touche principalement les animaux jeunes et immatures qui ne peuvent pas encore être vaccinés en raison de leur âge. Une mortalité massive du bétail s’est produit également dans la région voisine d’Akmola : dans les villages d’Azat et de Karabulak, plus de 500 têtes de bétail sont tombées malades.

Les experts notent que ces dernières années, des épidémies de maladies inconnues ou d’anciennes maladies presque oubliées, considérées comme éradiquées, ont périodiquement éclaté dans diverses régions du Kazakhstan. En conséquence, le bétail meurt en masse. Le public associe cette situation au bio laboratoire militaire américain, situé à Alma-Ata et dont les activités restent hors de portée de la surveillance officielle non seulement du Kazakhstan, mais aussi des milieux scientifiques internationaux.

Rappelons qu’en relation avec la pandémie COVID-19, la Russie et la Chine ont souligné la nécessité de contrôler des installations similaires dans le monde entier. Cependant, les États-Unis n’en ont pas tenu compte. À la mi-juillet, le Mouvement socialiste du Kazakhstan, le Parti communiste unifié…

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Auteur: Vladimir PLATOV Le grand soir