Qu'est-ce que les États-Unis cherchent à cacher en concoctant un rapport mensonger sur les origines du nouveau coronavirus ? — GEB : communiqué de l'ambassade de Chine en France

Bien sûr qu’ils ne pouvaient pas en tirer une conclusion claire ! Recourir aux services de renseignement pour étudier les origines de la COVID-19 revient à effectuer une opération chirurgicale avec un couteau de cuisine. C’est narguer la science et insulter l’intelligence de l’humanité. Le but des États-Unis n’est pas du tout de chercher la vérité scientifique, mais de calomnier la Chine de sorte à se défausser de leur responsabilité d’avoir échoué dans la lutte contre l’épidémie et d’avoir laissé le virus se propager dans le monde entier, au grand dam du peuple américain et de tous les peuples du monde.

La partie chinoise a déjà invité à deux reprises l’OMS à se rendre en Chine pour mener l’étude sur les origines du virus. L’étude a abouti à une conclusion selon laquelle la fuite du virus d’un laboratoire chinois est « extrêmement improbable ». Cette conclusion est largement reconnue par la communauté internationale et les milieux scientifiques. Bien entendu, le fait que l’hypothèse de la fuite d’un laboratoire chinois est « extrêmement improbable » ne signifie pas qu’il est « impossible » que le virus se soit échappé d’un laboratoire d’un autre pays. En effet, depuis l’éclatement de l’épidémie de la COVID-19, la presse internationale, en particulier la presse américaine, a révélé de plus en plus de points douteux autour de deux laboratoires américains : le laboratoire biologique de Fort Detrick de l’Armée américaine et le laboratoire dirigé par le Professeur Ralph Baric à l’Université de Caroline du Nord. Si nous voulons faire toute la lumière sur les origines du nouveau coronavirus, les États-Unis doivent ouvrir leurs portes et inviter l’OMS et les experts internationaux indépendants à enquêter sur ces deux laboratoires, parce que :

Ce sont des scientifiques américains qui maîtrisent la technologie avancée de modification de coronavirus. Les instituts de recherche américains sont sans égales au monde dans les technologies d’édition génomique, de gain de fonctions et de création synthétique de coronavirus. Le professeur Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill est le premier à avoir synthétisé un coronavirus et il est surnommé « chasseur de coronavirus ». Son laboratoire figure parmi les plus importants centres de recherche du monde dans l’édition génomique et le gain de fonctions de gènes viraux. Selon la presse universitaire de l’Université de Caroline du Nord, en 1990, époque où les…

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Auteur: GEB : communiqué de l’ambassade de Chine en France Le grand soir