Martine Gozlan est journaliste pour l’hebdomadaire Marianne, pour lequel elle a récemment rédigé un articule intitulé « Qui protège Bouteldja ? ». Notre journaliste d’investigation Serge Navi, s’est penché sur le protectorat dont bénéficierait Mme Gozlan avant de tenter de la recruter comme crêpière pour lundimatin, en vain.
Le 29 décembre 2020 est paru sur le site de l’hebdomadaire Marianne un article signé Martine Gozlan, intitulé « Qui protège Houria Bouteldja ?. La journaliste y évoque la récente fanfaronnade de l’ex-porte-parole du PIR, dont elle résume ainsi le propos : « Ce galimatias fait semblant d’être complexe. En réalité il se réduit à cet élément simple : l’essentialisation du peuple israélien se confond ici, comme depuis longtemps, avec l’antisémitisme ».
Martine Gozlan observe ensuite qu’à l’exception d’une poursuite judiciaire intentée, et perdue, en 2011 par une organisation d’extrême droite (l’AGRIF), Bouteldja n’a jamais été inquiétée par la justice. Cependant, prévient-elle, avec la nouvelle direction de la LICRA (aujourd’hui présidée par Mario Stasi), les choses pourraient changer. Et il faut d’autant plus s’en féliciter que la LICRA a cru bon, par le passé, de se faire l’avocat du diable :
« La période précédente avait été en effet marquée par une dérive qui culmina avec l’affaire Georges Bensoussan, poursuivi pour provocation à la haine raciale. Des sympathisants de l’organisation évoquent leur ‘‘honte’’ à cette évocation. Comment avait-on pu se retrouver aux côtés du CCIF contre l’historien et n’avoir jamais bronché devant l’antisémitisme de Bouteldja ? Cette époque est heureusement révolue. Aujourd’hui, la réaction de la Licra aux propos de la récidiviste du PIR est claire : ‘‘Nous examinons l’opportunité de saisir la justice. Car à supposer l’infraction pénale établie, on ne peut…
Auteur: lundimatin
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