Réchauffement climatique : sur Terre et ailleurs… — Dmitri Orlov

Elle est basée sur des modèles informatiques, et le problème avec ces derniers est qu’ils montrent généralement ce que les gens qui paient pour la recherche veulent qu’ils montrent ; sinon, ils paient quelqu’un d’autre pour obtenir les résultats qu’ils veulent.

Et si ces résultats particuliers étaient souhaitables, c’est parce qu’ils pouvaient être utilisés pour justifier d’énormes projets lucratifs, tels que la taxation des émetteurs de carbone, l’échange de crédits de carbone et, bien sûr, la construction de capacités de production éolienne et solaire qui sont coûteuses, intermittentes, peu fiables, de courte durée et qui compromettent l’intégrité des réseaux électriques. Promulguer cette hypothèse comme une vérité divine a également permis de culpabiliser de nombreuses personnes, les amenant à réduire volontairement leur consommation d’énergie, ce qui permet aux riches de continuer à s’enrichir alors même que la disponibilité de l’énergie dans les pays anciennement riches commence à décliner. Al Gore, vice-président de Clinton et grand alarmiste du climat, s’est enrichi de manière obscène en exploitant l’hystérie climatique. La dernière fois qu’on l’a vu, c’était à la conférence de Davos, où il a continué à débiter ses idées alarmistes sur le climat ; heureusement, peu de gens dans le monde l’écoutent encore.

Mais voici qu’arrive une nouvelle importante qui fait voler en éclats l’hypothèse du changement climatique anthropique : ce n’est pas seulement notre globe qui se réchauffe, mais aussi tous les autres globes du système solaire. Quoi ? Eh bien, oui, les preuves sont là, et elles sont des plus déroutantes. Personne ne sait quelle en est la cause, mais l’effet est bel et bien mesurable et significatif.

• On sait que les températures sur Neptune sont liées au cycle solaire de 11 ans, mais en 1996, ce lien a été rompu et Neptune est devenue beaucoup plus sombre. Les chercheurs ont pensé que cet effet pouvait être causé par les rayons cosmiques affectant sa basse atmosphère.

• Uranus est habituellement très calme, sa météo observable étant également liée à la variation de l’activité solaire, mais depuis 2014, elle est inhabituellement orageuse et personne ne sait pourquoi. Jusqu’en 2014, sa température diminuait progressivement, mais depuis cette année-là, sa température augmente rapidement.

• Saturne a un cycle de tempête de 30 ans, mais en 2010, la tempête est arrivée 10 ans trop tôt et a été la plus importante…

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Auteur: Dmitri Orlov Le grand soir