St Péray : recours alambiqué d'élus pour tenter de relancer la déviation routière

La clique de la petite mafia de la CCRC au service du BTP et du secteur immobilier, soutenue par leurs complices (Fabrice Pannekoucke, président du conseil régional le sbire de Wauquiez l’homme au repas autopromo à 150 000 € d’argent public) et par Olivier Amrane, président du conseil départemental de l’Ardèche (connu pour avoir pollué l’Eyrieux) ajoute un énième épisode à leur combat pour un projet routier et immobilier d’arrière garde.
Ces opposants à la démocratie réelle et à l’écologie populaire ne reculent devant aucun ridicule pour tenter de parvenir à leurs fins.

Après que la préfecture de l’Ardèche ait été plus ou moins obligée, à contre-coeur, de se conformer à la loi et au jugement du tribunal qui stoppait les travaux en obligeant à une vraie étude de la biodiversité sur un an, voici que ces élus has been tentent à nouveau de contourner les obstacles en demandant à pouvoir construire un pont (moins cher et qui sert mieux leurs objectifs) plutôt qu’un autre…
Magouilles et ruses grossières en vue !

 Les amis de ces élus et les gouvernements complices ont au fil du temps permis aux grands projets de démarrer avant que les recours ne soient épuisés, parce que soit disant les recours juridiques des écologistes and co ralentissaient de trop leurs projets, ce qui est faux, c’est juste que ces projets prennent du temps à démarrer en eux-mêmes. Ensuite, si un projet est stoppé par un tribunal, ils s’indignent sur le mode : « on a commencé les travaux et dépensé de l’argent, impensable de stopper et de ne pas finir ! »
Pratique.
Ils veulent tenter le même coup tordu avec ce recours pour espérer construire un pont routier sur le Mialan, qui deviendrait le cheval de Troie d’un projet routier/immobilier dévastateur.

- Aux municipales de 2026 va-t-il émerger à St Péray et alentour d’autres projets que la poursuite des désastres pour maintenir le capitalisme et les profits pour…

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