The Last Hilbilly : on achève bien les hilbillies. — Rosa Llorens

Les critiques de The Last Hilbilly, unanimement positives, semblaient promettre une nouvelle vision de l’Amérique profonde, non plus la vision, moraliste, méprisante et haineuse, qu’en donnent les opinion-makers citadins des deux côtes, mais le péquenot vu par lui-même. Mais au lieu de l’anti-Easy Rider qu’on pouvait espérer, on a un Easy Rider aggravé, où c’est le hilbilly qui se condamne lui-même. Easy Rider, film culte de 1969, est présenté comme une ode à la liberté, symbolisée par les deux bikers (…)

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Auteur: Rosa Llorens Le grand soir