Nommons « trump » (un trump, traduction française : un macron) l’expression aboutie du déploiement de la logique économique et de la subjection subjectivisation qu’elle induit. Un trump est un agent économique, un agent smith, un cyborg ou un androïde de nouvelle génération ; l’effet de « la libération » libérale libertarienne impulsée par les baby-boomers avec leur volonté d’éducation bienveillante, bouddhiste occidentale, TOUT en maintenant l’objectif de l’enrichissement économique, avec les contraintes, contradictoires, de malveillance, que cela implique.
Petite bourgeoisie des trumps (ou des baby-boomers et de leur descendance) fondée sur une sorte d’égalitarisme intra-familial (ou de repli sur une communauté familiale égalitaire), mais égalitarisme malvenu et inadapté, traiter l’enfant comme un consommateur adulte (si cette chose existe), conjuguée au plus féroce inégalitarisme ou à l’idée ancrée de suprématie, partout ailleurs, voire conjuguée à la haine de classe (et des classes racisées, en particulier) ou à la haine des pauvres (également racisés).
Nous voudrions montrer que l’épidémie virale, la propagation du virus biochimique, est la conséquence de la constitution et du développement d’une abominable classe moyenne, de trumps ou de macrons.
Nous voudrions expliquer que c’est l’économie, entendue comme constitution subjective de trumps, qui est le noyau générateur de l’épidémie.
Ou encore : c’est l’imposition autoritaire d’une « forme de vie », la forme trump, la dite « démocratie libérale » (imposée par une guerre), qui a créé l’humus (subjectif) propice à l’expansion virale. Du développement économique (la légitimation de la dite « démocratie ») à l’expansion virale, il y a une ligne continue.
Cette forme de vie, way of life,…
Auteur: lundimatin
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