Une énième vague de coups d'État sanitaires déferle sur le camp atlantiste — Khider MESLOUB

Comme le disait le nazi Hermann Göring : « Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez ».

Pour la énième fois, alors que le Covid-19 était, depuis le mois d’avril 2021, en voie de résorption, les États atlantistes viennent de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion de l’invariant scénario catastrophe porté par le terrifiant variant delta, ce serial killer menaçant, selon les metteurs en scène gouvernementaux jamais à court d’imagination, l’humanité de disparition. Or, selon les experts, certes le variant delta est plus contagieux, mais incontestablement moins létal que le précédent.

À écouter les gouvernants atlantistes, le variant delta s’apprêterait à décimer des millions de personnes, particulièrement les non-vaccinées. À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant delta ne provoquerait qu’un gros rhume. La preuve : en Grande Bretagne, premier foyer européen du variant delta, certes le nombre de contaminations a considérablement progressé, mais sans entraîner d’augmentation du nombre d’hospitalisations et de mortalité, notamment parmi les populations non-vaccinées. En revanche, paradoxalement, selon une étude scientifique, les Britanniques vaccinés contaminés par le variant delta s’exposeraient à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés.

D’aucuns expliquent la très faible mortalité actuelle par la généralisation de la vaccination. Or, depuis le mois de mars, la diminution du nombre de décès a été relevé également dans nombre de pays qui ont partiellement vacciné leur population (le Covid-19 serait, selon les spécialistes, très sensible à la saisonnalité, autrement dit il se propagerait plus facilement en hiver qu’au printemps et en été). Par ailleurs, selon une étude israélienne, la vaccination actuelle à forme ARN-m ne protège pas efficacement contre le nouveau variant delta, encore moins contre le delta Plus.

D’après un communiqué du Ministère israélien de la Santé, « l’efficacité du vaccin de Pfizer contre le coronavirus est tombée à seulement 64% en Israël, face à la propagation du variant Delta dans le pays ». Et pour cause. Les vaccins ARN-m occidentaux ont la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré par le laboratoire chinois Sinovac) capable de coder une…

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Auteur: Khider MESLOUB Le grand soir