Une flic tue un jeune fuyard à pied et non armé le 09 juin à Cherbourg

Un nouveau crime policier à Cherbourg, le soir de l’annonce de la dissolution de l’assemblée par l’autocrate Macron.
On sait bien que si l’extrême-droite accèdait officiellement au pouvoir, les exactions et crimes policiers se multiplieraient encore plus, en s’appuyant sur les lois racistes et répressives faites par les gouvernements Macron et les gouvernements précédents.
Les divers groupuscules racistes et néofascistes pourraient aussi se livrer à davantage d’exactions, notamment envers les personnes racisées, les habitant.es des quartiers populaires, et aussi les militant.es de gauche.

Flics (dans leur immense majorité) et groupuscules d’extrême-droite sont sur la même ligne, et sur les mêmes pratiques (voir exemple récent plus bas).


Une flic tue un jeune à pied et non armé le 09 juin à Cherbourg

SULLIVAN, 19 ANS, TUÉ PAR LA POLICE À CHERBOURG

Une policière mise en examen pour « homicide volontaire », c’est à dire pour meurtre. Ce genre de poursuite est rarissime au sein des forces de l’ordre. Cela signifie que, même la justice qui couvre systématiquement la police, ne peut pas détourner le regard : il s’agit d’une exécution pure et simple.

Le crime a eu lieu dimanche 9 juin au soir, vers 23H40 à Cherbourg, en Normandie. C’était peu après l’annonce d’une dissolution de l’Assemblée par le président, et la perspective d’une arrivée de l’extrême droite au pouvoir à court terme.

Ce soir là, des policiers ont voulu contrôler un véhicule avec trois occupants, qui ont pris la fuite à pied. Depuis quelques années, les policiers ont pris l’habitude d’ouvrir le feu sur des automobilistes, prétextant le danger que représenterait une voiture en mouvement. Mais par définition, une personne qui fuit à pied ne représente aucun danger.
Sur les trois occupants, un a réussi à s’échapper, un deuxième a été interpellé, et le troisième, Sullivan, a été abattu par balle. Selon la…

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