Violences policières, chômage, violences faite aux femmes

 

Une semaine très riche en actu ! Des violences policières à gogo, un gouvernement qui se casse les dents sur l’article 24 de la loi sur la sécurité globale, mais aussi sur la réforme de l’assurance chômage, des mobilisations qui refusent de se confiner : pour dénoncer les violences faites aux femmes le 25 novembre ou contre le PSE de General Electric à Lyon. Et bien d’autres choses au menu de ce Récap Hebdo.

 

Sécurité globale

 

D’une manifestation à l’autre

 

Samedi 21 novembre, plus de 20000 personnes se sont rassemblées dans une bonne vingtaine de villes contre la loi sur la « sécurité globale », en discussion à l’Assemblée nationale. Depuis un nouvel appel à manifester a été lancé dans toute la France par la coordination Stop loi Sécurité globale pour le samedi 28 novembre. Entre les deux dates, plusieurs milliers de personnes se sont réunies devant le Palais de justice des 24 colonnes à Lyon le mardi. Et 500 à Dijon le même jour. Mercredi un nouveau rendez-vous était donné à Toulouse.

 

Manifestation interdite à Paris

 

Mardi, le préfet de police de Paris a interdit le défilé entre République et Bastille de la marche des libertés prévue ce samedi contre la loi sur la sécurité globale. Invoquant des raisons sanitaires et le contexte de menace terroriste, Didier Lallement n’autorise qu’un rassemblement statique place de la République. Une décision à laquelle la coordination Stop loi sécurité globale organisatrice de la manifestation ne souhaite pas se plier. Dans un courrier au préfet le 25 novembre, elle assume : « nous irons et nous marcherons pour défendre cette liberté. Parce que l’Histoire nous regarde. Parce que le monde nous regarde. » Finalement, l’arrêté préfectoral a été annulé vendredi en fin de journée par le tribunal administratif.

 

Parcours parlementaire

 

Mardi, les députés ont adopté la proposition de loi sur la « sécurité globale » par…

Auteur: La rédaction
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