Vouloir perdre, vouloir gagner

Quand un pouvoir en est à redouter des casseroles, des bouts de papier rouges et des sifflets, c’est qu’il est au bord de tomber. Et pourtant il tient. Il tient parce que des institutions totalement vicieuses le lui permettent. Parce que toute moralité politique l’a abandonné. Parce qu’il est aux mains de forcenés qui n’ont plus aucune idée de limite. Il tient aussi parce que les conducteurs du mouvement – pour parler clair, l’Intersyndicale – n’ont pas eu le début du commencement d’une analyse de l’adversaire, et persistent dans une stratégie désormais avérée perdante.


La pompe à phynance

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Mouvement de contestation,
Retraites,
Syndicalisme

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Auteur: Frédéric Lordon